Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Desptits truc de moi

Desptits truc de moi
Derniers commentaires
27 juin 2007

Le live de Kenza Farah

Publicité
27 juin 2007

Kenza Farah

21 juin 2007

Des nains d'un journal sarthois

IMG

Seul un regard peu créer l'univers

26 mai 2007

Florenceforesti


Florence Foresti - comique humoriste histoire de rier encore un petit peu chaque jour, elle assure hein!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
envoyé par FunkyMotion

25 mai 2007

Le temps des cerises

les_cerises_009

la cueillette des cerises avec minouchette et sa petite princesse

les_cerises_011Humm des cerises bien rouge

les_cerises_014

voilà ma prise  mienne avec un clafoutis pour les babines des petits et grands.

Publicité
24 mai 2007

Un jour une femme perdue

La Terre n’est qu’un seul pays et Tous les hommes en sont les citoyens. Baha’u’llah 1817-1892 Je marchais dans les rues de Copacabana, sur les trottoirs humides, il n’y avait personne, après tant d’années passées loin de chez moi à 2000 Km, toute seule et jeune. Je ne devais pas m’éterniser dans ses ruelles là, ils me le faisaient ressentir tous ses gens là que je ne connaissais pas. Je marchais dans la rue. J’ai du trouver un abri par si, par là, Plusieurs usines rappelaient les ouvriers qui allaient sur le chantier. Sur la route, fatiguée de errer, je me suis posée dans le hall, d’un bâtiment d’une cité ou la vie avait l’air malgré tout aussi triste que moi, une place un abri seulement pour dormir me reposer et trouver un jour peut être un peu de chaleur et de réconfort . Ma mère décida un jour de me faire disparaître en m’emmenant loin de chez nous, loin de ceux que j’aime mes frères et sœurs ; trop naïve pour comprendre que c’était un piège, et là la rue m’appelle pendants 5 ans j’ai erré dans les ruelles d’un pays ou le soleil brillait. Assise par terre a quémandé, le regard des passant ne s’arrêté pas, les fachos que j’entendais de leurs mesquineries de conne ris, hélas la nuit est vite tombé il fallait accéléré le pas et retourné au refuge de la cité, pendant la nuit en serrant les murs. Au milieu de la nuit j’entendais des pas de chacals qui voulaient sans doute se ravitailler, il suffisait de se cacher, pour ne pas se faire attraper, et subir la méchanceté des rats. Le jour se leva, une jeune fille qui m’aperçut, m’apportât un café, elle discuta un peu avec moi, et puis voilà. Un soir sachant que l’immeuble était délabré, je sentis une odeur de brûlé venant du hall, et une explosion éclata des cries, du bruit de la fumée qui m’empêchais de respirer, me fit sortir très vite de l’immeuble et appeler les premiers secours, en essayant de diriger des personnes vers le gymnase. Demain c’est loin. La fin la faim, justifie les moyens, et ont tien jusqu'à demain après on verra bien On marche dans l’ombre du matin du soir au matin Tapis dans un coin, et aller encore plus loin, le grand chemin. Lendemain c’est on vit au jour le jour. Demain c’est loin on n’est pas pressé au fur et à mesure. Je regardais derrière moi les pas qui s’effacé, je fredonnais la chanson du petit bonheur mal de vivre ou je veux du soleil, suis resté qu’une enfant qui a grandi trop vite dans un monde superficiel, et pas du tout magique.

La chambre, pour écrire des histoires de rêves d’autant.

22 mai 2007

Offrons nous des fleurs

collage4

Je n'ai pas eu le temps de dessiner mais je vous promet que sa viendras bientôt, appréciez celles çi.

22 mai 2007

Porter la vie

Trouver les mots qui effaceront nos désirs imaginé

je laisserais le temps passé, sous mes pieds fatigués.

Essuyé les larmes versées sur mon cœur délaissé

j’oublierais la lumière du jour inventé.

Je marcherais le long des quais, en chantant tout le long de la rive

sur un air de liberté quitter le banc public sur lequel je me suis posée en contemplant

le soleil me réchauffer le cœur effacé.

Ma destinée s’en est allé et je pars s’en me retournée.

L’amour est né au fond de mon cœur et tu n’es pas là je te regarde t’en allé vers une autre et rien ne va

un enfant grandit en moi et tu n’es pas là, je te prie de te revoir

mais tu ne viens pas.

Le réservoir au piano noir un homme en blanc chante un air du temps

si seulement tu était là ah savourer c’est instant magique de la musique de jazz

au STAN pour toi et pour toujours mon amour.

AD

19 mai 2007

kAMINI EST BLANC

19 mai 2007

HISTOIRE DE RIRE EN COULEUR

Publicité
1 2 > >>
Publicité