Porter la vie
Trouver les mots qui effaceront nos désirs imaginé
je laisserais le temps passé, sous mes pieds fatigués.
Essuyé les larmes versées sur mon cœur délaissé
j’oublierais la lumière du jour inventé.
Je marcherais le long des quais, en chantant tout le long de la rive
sur un air de liberté quitter le banc public sur lequel je me suis posée en contemplant
le soleil me réchauffer le cœur effacé.
Ma destinée s’en est allé et je pars s’en me retournée.
L’amour est né au fond de mon cœur et tu n’es pas là je te regarde t’en allé vers une autre et rien ne va
un enfant grandit en moi et tu n’es pas là, je te prie de te revoir
mais tu ne viens pas.
Le réservoir au piano noir un homme en blanc chante un air du temps
si seulement tu était là ah savourer c’est instant magique de la musique de jazz
au STAN pour toi et pour toujours mon amour.
AD